1975 : l'ONIC, qui comptait à la fin de la guerre plus de 3 900 agents, n'en emploie plus que 1 130, loin de son effectif budgétaire fixé à 1 607. Tandis que le ministère de l'agriculture et les organisations céréalières souhaitent réduire la voilure, considérant qu'avec l'Europe et le développement de l'informatique les tâches se sont allégées, le syndicat CGT développe une analyse totalement opposée, estimant que la stagnation des effectifs dans une filière en pleine expansion conduirait au démantèlement de l'organisation d'arbitrage et de gestion de la filière. Il souhite populariser ce point de vue et c'est dans ce contexte qu'il décide de rédiger le "Livre Blanc de l'ONIC" qui sera publié en mai 1976.